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| La science vulgarisée avec des mots vulgaires ! Conférence de la Prof Italie du Sud et du Prof Belarus. | |
| | Auteur | Message |
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Belarus/Nikolaï Arlovsky High, Chambre A
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| Sujet: La science vulgarisée avec des mots vulgaires ! Conférence de la Prof Italie du Sud et du Prof Belarus. Ven 11 Sep - 13:21 | |
| Une journée classique, banale, chiante, emmerdante, puante, MERDIQUE ! C'était tout ce qui passait en tête de Belarus depuis qu'il avait entamé cette journée, cours chiants, Russie absent, impossible de le croiser dans les couloirs, à la cafétéria, il s'était retrouvé seul, Ukraine absent et Russie, il l'avait croisé au moment ou il sortait, pire, ce dernier avait fait semblant de ne pas le voir, Si Belarus le sait ! Quand Russie longe un mur en mettant son écharpe devant son visage pour ne pas être reconnu, c'est qu'il fait semblant de ne pas vous voir ! Arrêtez un peu ! Donc oui, la journée n'avait pas été du tout terrible. C'était tout sauf évident de mener ce genre d'existence, vous aimez mais on vous ignore. Grr ! On aurait presque envie d'avoir Tibet et le forcer à manger de la viande en espérant qu'il dévore son arrière grand-père. Mais ça ne sera pas le cas car... IMPOSSIBLE de croiser Tibet ! Sûrement parti au jardin se nourrir en suçant des pousse de bambou piqué à Chine.
GRR ! Quand le destin a décidé de pourrir votre journée, il fait pas semblant !
LIET ! VIENS ! J'AI BESOIN DE ME DEFOULER !
Encore une journée qui venait de s'achever, il était quoi ? 18H15, cela faisait bien 15 minutes que la salle était vide, plus de profs, d'élèves, rien, fin de journée, qui irait traîner ses pieds ici et surtout la veille d'un week end ? Personne et surtout pas avec le dernier qui restait encore présent, Biélorussie était encore présent au sein de cette dernière, d'ailleurs il avait prit la liberté de faire un aller-retour, le temps de se changer parce que bon, veille de week-end, on abandonne la laideur de l'uniforme scolaire ! Pourquoi donc vous pourriez vous demander, l'option viol de son frère quand personne n'est là aurait été envisageable, mais son frère n'est pas là et non, il ne fait pas assez froid pour qu'il occupe ses longues soirées en classe et pas assez en manque pour ça ! Non, il avait jugé bon de continuer à écrire ses notes, de faire des dessins, il faut croire que le labo de science l'inspirait, qu'il avait tout un flot d'idées qu'il se devait d'écrire, dans tout ça, en plus dessins d'apparitions, de fantômes, de son frère qui lui envoyé des cœurs et autres déguisé totalement guimauve et plein de bon sentiments, il y avait aussi des têtes plongés dans des éviers, des éprouvettes plantaient dans les yeux de certains, et autres joyeusetés des plus envieuses. Et étrangement, on pouvait reconnaître chaque victime, de l'asiatiques, du baltes, de l'européen et les bic et bac américains. Ha oui, avait aussi Espagnol la bouche pleine de tomates avec l'annotation « LE CHANT, C'EST LE MAL ! » et particulièrement le tien. Si si...
Quelques griffonnages plus tard, il rangea ses affaires dans son sac, se levant pour réajuste ses fringues, il posa son pied sur le tabouret de son voisin sans être capable de se rappeler de qu'il avait en binôme et réajuste sagement les lacets de ses bottes, non sans oublier d'employer la blouse blanche laissait à l'abandon par son voisin de table. Un mouvement vif et rapide, il finit d'ajuster son haut sans manche noir et son jean noir aussi tout en louchant vers le bec benzène.
« Si seulement il était portatif et pas sceller au bureau... »
Souffla-t-il à lui-même avant de se pencher pour prendre son sac qu'il cale sur une épaule, prenant la direction de la sortie sans se soucier que quelqu'un avait dans l'idée de rentrer dans le labo.
Comme si la journée ne pouvait pas être plus pourri, n'est ce pas ? Ha bah si ! Espagne pourrait s'entraîner à draguer sur sa guitare en demandant à Estonie et à lui ce qu'il en pense... Comme quoi, ça peut toujours être pire. | |
| | | South Italy/Lovina Vargas High, Chambre 3
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| Sujet: Re: La science vulgarisée avec des mots vulgaires ! Conférence de la Prof Italie du Sud et du Prof Belarus. Dim 20 Sep - 14:51 | |
| Vendredi soir ou le moment qui sonnait le début du si salutaire week end. Et pour l'italienne son programme était vite vu : grasse matinée, sieste, éventuellement shopping entre filles avec Belgique, la messe de dimanche et c'est tout. Ah pardon si les devoirs ! Les devoirs, la chose dont la seule et unique pensée peut gâcher la faible période de farniente qui se profilait à l'horizon. Rien que pour ça elle regrettait déjà que les vacances soient terminées. Pour les cours s'étaient la même chose. Quoique tout dépendait de la matière. Par exemple en économie ou en stratégie militaire c'était tout bonnement une catastrophe ambulante au point qu'elle aurait tout donné pour éviter ces disciplines. Tandis qu'en histoire et en sciences elle réussissait à s'en sortir sans problème. Pour le premier on comprend très vite comment elle fait, non cela n'a aucun rapport avec le fait que le professeur soit son grand-père, on va y croire. Alors que pour l'autre cours, c'était tout simplement à cause du fait qu'elle aime bien. Et bon, qui n'aimerait pas une petite expérience scientifique de temps en temps ?En parlant de sciences, le prof leur avait donné des exercices à faire pour la semaine d'après. Et elle venait de s'en souvenir bien qu'elle l'avait noté.
Et merde ! Y avait encore ça en plus à foutre !
Tournant les talons elle se précipita 'élégamment' vers sa chambre dans le but de rapidement terminer ces devoirs-ci. Certes, elle avait tendance à la procrastination et donc de s'en occuper la veille au soir. Sauf que l'italienne avait prit une résolution : arrêter de reporter pleins de choses au lendemain. En théorie cela ne posait pas le moindre soucie sauf que la réalité demeurait tout autre. Égal peu de choses avaient effectivement changées depuis le début du mois. Peu après une marche de deux minutes, la porte de la chambre 1 put être perçue. Lovina rentra et alla vite chercher son livre de sciences. Sur le lit, non, sur le bureau, non, pas non plus dans son sac ni dans le reste de ses affaires. Elle fouilla une seconde fois. Son livra restait introuvable dans sa partie de la chambre.
Il est où ce fichu bouquin ?!
Aucune de ses camarades de chambre ne lui auraient emprunté sans lui en parler. Il y avait eu cours de sciences durant la journée, il se pouvait qu'elle l'avait laissé là-bas. La poisse. La question qui commençait à hanter son esprit était de savoir si la salle était toujours ouverte à cette heure-ci. Bref, allez demi tour en direction de la pièce en question. La 'bonne' humeur qu'elle ressentait jusque là disparaissait de plus en plus pour laisser place à son caractère habituellement acariâtre. Faisant de grandes enjambés dans le but d'arriver plus au plus vite et donc de pouvoir profiter convenablement de son week end, car oui elle comptait bien en profiter au maximum une fois cette histoire réglée.
Au bout d'à peine quelques secondes, elle parvint devant la salle. La lumière semblait être allumée ce qui signifiait que quelqu'un devait se trouver à l'intérieur. Une véritable aubaine pour la jeune fille ! Une sonnerie retenti dans sa poche. Un simple coup d'œil à son portable lui signifia qu'elle n'avait plus de batterie. Ce simple petit événement eu le don de l'énerver encore plus.
Entrant dans la salle de cours, Lovina laissa comprendre qu'elle n'était pas de bonne humeur en claquant la porte derrière elle. On pouvait entendre juste après un petit bruit métallique comme si quelque chose venait de tomber sur le sol. Ça ne devait pas être si important. Sans trop faire attention à ce qu'il se passait devait elle et donc percuta la personne qui comptait sortir. Ce qu'elle ignorait c'est la personne qu'elle venait de percuter. Un grognement s'échappa de ses lèvres avant de relever la tête. Inutile de dire qu'elle reconnu sans difficultés le biélorusse. Est-ce qu'elle pouvait tomber sur quelqu'un de pire que ce 'psychopathe accro à son frangin' comme elle le surnommait si bien ?
" Putain qu'est c'que tu viens foutre là toi ?! "
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| | | Belarus/Nikolaï Arlovsky High, Chambre A
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| Sujet: Re: La science vulgarisée avec des mots vulgaires ! Conférence de la Prof Italie du Sud et du Prof Belarus. Mar 22 Sep - 1:21 | |
| Biélorussie pencha son visage d'un coté, glissant une oreillette, faisant de même pour la seconde, il ferma les yeux l'espace de quelques secondes, le temps de mettre une main sur son torse, prendre une profonde inspiration, le genre ZEN comme dirait Tibet, respire, expire, explose, tue, pille, brûle ! Enfin un truc cool et calme. Il lança sa musique, bien trop forte pour le commun des mortels mais qui couvrait suffisamment les blablas des gens qu'il croisait dans les couloirs, c'était une sorte d'auto-défense pour les élèves, moins il entendait les âneries et plus cela augmentait la survie des élèves du bahut. Attention, pas qu'il se considérait comme une machine de guerre ou un tank russe, loin de là, non ça, c'était son aimable et plus beau frère qui était tout ceci. Qu'il était beau dans l'effort de guerre ! On aurait presque envie de planter son drapeau dessus pour dire « IL EST À MOI ! ».
Pensant qu'il était seul, bien loin d'avoir entendu le bruit de la porte s'ouvrir car le son des basses couvraient l'intégralité des sons ambiants de la pièce, il fit ses premiers pas vers la sortie, les yeux toujours clos, son corps percuta durement un plot de chair. Sa botte écrasa le pied de la créature face à lui, restant sur place, il se permit même d'appuyer quelques instants pour bien marquer sa présence à cet instant précis, le poids, bien que léger, fut bien présent avant qu'il daigne ouvrir les yeux, regard qu'il dût baisser pour voir que...
Une main se lève, il tire sur le câble ivoire qui lit l'oreillette à son minois pour entendre... Rien du tout, il a juste vu les lèvres bouger, mais ses notions de vulgarisation vulgaire lui permit de comprendre presque un peu tout ce qu'elle venait de déblatérer.
On est peut être pas du même pays, mais on a la même passion !
LES INSULTES ! SA MERE !
« Tu as dit quelque chose la bouffeuse de tomates ? Parce que j'ai vu tes lèvres bouger mais aucun son intéressant du coup, j'ai occulté mais comme je suis poli avec les dames, même les connes, je demande. »
Même si la question était posée, Biélorussie ne prit pas le temps d'écouter la réponse. Il posa une main sur une épaule de la jeune femme, la bousculant un peu pour la déplacer de sa trajectoire, on ne fait pas déplacer un biélorusse, c'est le biélorusse qui vous déplace ou alors vous l'esquivez. Son autre main tendue, il attrapa la poignet de la porte de la salle de bio. Poussant dessus pour l'ouvrir, il se confronta à une mauvaise blague qui lui fit lâcher une insulte en biélorusse.
« блядзь! »
Il poussa dessus une nouvelle fois... Encore... Et encore... ET ENCORE ! Pour finalement mettre un coup de pieds dans la porte, quelque chose de rude et de violent, au point ou la semelle est appliqué sur le blanc de la porte. Cette dernière tremble un peu mais tient tout de même sur place. Il fait quelque pas en arrière... Juste ce qui faut pour avoir le coin de l'oeil posé sur la jeune femme.
« Suka... Qu'est ce que t'as fait à cette putain de porte ! Elle s'ouvre plus ! À cotoyer l'autre con d'espagouin t'es devenue aussi demeurée que lui ? Pourquoi t'as fermé ? T'espérais un moment de solitude ?! ROUVRE CA DE SUITE ! J'ai autre chose à foutre ! »
Il se posa face à elle, son regard mauve cherchant le contact avec les yeux de la jeune femme, bien décidé à la défier du regard, une main sur la sangle de son sac à dos, l'autre main dans une poche. Pour le moment, il était zen, aussi zen que pouvait être Biélorussie quand il insulte des gens, tant qu'il ne touche pas à ta mère, à ton père, à ton frère, c'est qu'il est relativement calme. En tout cas, il se fait patient avec la jeune femme à cet instant alors qu'il attend une réponse, sûrement pleine de fleurs, de pétales, de douceurs et de... Grossièreté comme seul pouvait offrir Italie du Sud au reste des êtres vivants dans l'académie, mais ça, même si Nikolaï le savait, il aurait sûrement du mal à l'encaisser avec le sourire. | |
| | | South Italy/Lovina Vargas High, Chambre 3
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| Sujet: Re: La science vulgarisée avec des mots vulgaires ! Conférence de la Prof Italie du Sud et du Prof Belarus. Mer 23 Sep - 20:33 | |
| Relâchant un grognement, Italie du sud attendit une réponse qui ne vint jamais. Ou plutôt si. Mais alors une, qui ne la satisfaisait aucunement. D'une part, il ne l'avait entendu apparemment, en plus il en profitait pour la dénigrer.
Certes, le son qui s’échappait des écouteurs que ce dernier portait ne semblait pas aider pour entendre quoique ce soit même un cri strident. Égal elle devait répéter sa phrase. Non mais comme si elle allait se donner la peine de répéter, il n'avait qu'à écouter la première fois. Et puis, qui lui prouvait que cette fois-ci elle aurait le droit à une réponse ? Personne. Alors non. D'un coup, elle senti la main du biélorusse sur son épaule, on pourrait croire si on ne le connaissait pas à un geste affectif. Mais là on parle de Nikolaï Arlovsky ou le glaçon de l'Académie. Et sa main n'eu pour seule et unique utilité que de la déplacer. Et en plus, ce n'était certainement pas un gentleman.
Un mot qu'elle ne connaissait ni d’Adam, ni d’Ève, la fit froncer ses sourcils. Cela résonnait comme un mot de langue slave quand à connaitre la signification, il ne fallait pas lui demander. Est ce une politesse ou bien un terme plus insultant ? Elle optait plus rapidement pour la seconde option. Probablement parce que c'est ce qu'elle n'aurait certainement pas hésité à faire.
" Essaye pas d'm'insulter par derrière merde ! Sinon moi aussi j'peux jouer à c'jeu ! "
Et elle ne se gênerait point de le faire dans sa langue natale. Ce qui pourrait donner un discours de sourds entre eux. Et inutile de dire que dans ce cas précis l'ambiance entre les deux devrait plus qu’électrique.
La sud italienne le vit se démener contre la porte dans le but de l'ouvrir sans y parvenir. Bizarre. A moins que Biélorussie ne soit pas aussi fort qu'il n'aurait sembler le paraître mais elle ne tenait pas particulièrement à le vérifier. Apres quelques secondes la vérité fini par tomber: ils étaient enfermés dans la classe de sciences. Attendez QUOI ?! Pour ne rien arranger il insinuait qu'elle serait responsable.
Vraiment elle avait fermé la porte à clefs ? Alors, c'était donc ça ce petit bruit métallique qu'elle avait entendu peu après avoir claqué la porte. Elle laissa entendre un long soupir. Quelle poisse vraiment ! Et ne mettez pas cela sur le compte d'un mauvais alignement de planètes ou d'autres choses du genre. Elle n'y croyait absolument pas. D'accord, il lui arrivait de lire son horoscope mais plus d'en l'optique de rigoler un bon coup, parce que c'est pas parce que c’était marqué que tel jour elle aurait de la chance, qu'elle allait se précipiter pour aller acheter un ticket de loterie.
" D'où ça serait d'ma faute hein ? Et critique pas l'autre imbécile d'espagnol y a que moi qu'ai l'droit de le faire ! Et autre chose à foutre, comme quoi hein ? Stalker ton frangin ?!"
Non, elle n'essayait pas de défendre Espagne. Surement pas ! Et puis pourquoi elle aurait à prendre sa défense au juste ? Pour aucune raison, il s'agissait bel et bien d'un idiot qui ne faisait que l’énerver les 3/4 du temps.
Enfin, ce n’était pas tout mais il fallait trouver un moyen de sortir d'ici. Par réflexe, Lovina sortie son téléphone portable. Ah c'est vrai, il n'y avait plus de batterie pour pouvoir prévenir qui que ce soit et ainsi sortir de la salle. Il ne restait plus qu'à espérer que le biélorusse ai un portable et surtout suffisamment de batterie. A savoir comment faire pour lui demander sans que ce dernier ne se braque trop et accepte. Allez il fallait se lancer.
" T'as pas envie d'rester coincé là et moi non plus alors t'as un fichu portable ou nan ?!"
Bien évidemment, Lovina ne su pas prendre des pincettes comme à son habitude. | |
| | | Belarus/Nikolaï Arlovsky High, Chambre A
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| Sujet: Re: La science vulgarisée avec des mots vulgaires ! Conférence de la Prof Italie du Sud et du Prof Belarus. Mer 30 Sep - 14:02 | |
| C'est de l'insulte de situation, c'est un peu comme le comique de situation sauf qu'en Biélorussie, on n'a aucun humour, t'as vu sa gueule, tu y lis de l'humour ? Non? Bah tu devrais. La situation présente le fait mourir de rire... Mais pour preuve que ce n'était que la situation qui venait de se faire insulter, il ne réagit même pas à sa remarque sur les insultes dans le dos. Certes, Biélorussie avait un don pour insulter à tout va, un peu comme elle, mais rarement de dos, il n'avait pas de penchant trouillard et il était un peu beaucoup suicidaire, du fait, surtout, que son frère ne l'avait jamais remit en place comme il pouvait le faire avec les autres élèves. Du coup, son ego n'avait fait que le consolider dans l'idée qu'il était un homme fort. Il tourna le dos à la jeune femme pour revenir à la porte, levant son pied tout en pliant la jambe, il offrit à cette dernière un coup rude et puissant, laissant une marque T.44 sur cette dernière bien visible alors qu'il continuait de prêter l'oreille aux dires de la jeune femme. Pour preuve qu'il t'était tout ouï, son pied resta contre la porte quand il entendit la dernière réplique de la belle italienne.
Il ne stalke par son frère, c'est de l'amour fraternel... Il ne Stalke pas son frère... C'est la prunelle de ses yeux... IL NE STALKE PAS SON FRERE !!! C'est l'unique être de sa vie et de son existence !!!
Son pied se posa sur le sol lentement, trop lentement ? Assez pour entendre la dernière questions en tout cas. Ses épaules remuant légèrement alors qu'un léger rire sinistre commença à se faire entendre. Lentement il tourna le visage sur le coté, le coin de l'oeil se posant sur la jeune femme alors qu'il a un sourire large et le regard un peu fou. Levant une main pour attraper les fils d'ivoire et forcer son lecteur mp4 à sortir de sa poche... Non pas de cell, c'était maintenant visible. Il finit de pivoter pour se mettre face à elle, posant une main sur l'épaule d'Italie du Sud pour la bousculer, la pousser en arrière.
« L'avantage en « STALKANT »mon frère, c'est que j'ai apprit plein de façon de forcer les portes... Les fenêtres... Peut être que je devrais t'attraper par le col et te balancer à travers une vitre. » Il la pousse encore en arrière. « Ou que je prends ta gueule, je l'applique plusieurs fois sur un coin de table et comme par magie, la porte va s'ouvrir, y'a peu de chance, mais ça me fera du bien ! »
Spèce de connasse ! Non, il ne stalke pas son frère...
« Et toi ? T'as quoi à faire ? Essayer de remonter le QI de ton entourage ? Quand je vois le grand père, le frère et le mec que tu te tires. C'est pas l'intelligence qui t'attire, c'est pas une week-end qu'il te faut, c'est une année complète. Donc, non j'ai pas de téléphone, espèce de dégénérée ritale ! T'as qu'à appeler PAPY comme à chaque fois que t'as un soucis. Ca t'évitera toi aussi de réfléchir, ça ne semble pas être ton fort et pis c'est tellement pratique quand on ne sait rien faire d'avoir un parent dans l'établissement. »
A nouveau, il la pousse durement en arrière, mais cette fois si en reculant, attrapant un tabouret au passage pour le balancer sur la porte de l'entrée de la salle de cours. Non ça n'allait pas l'ouvrir, mais ça lui faisait du bien. Le tabouret percute, avec force, la porte, mais sans la fracasser, laissant juste un gros coup dans cette dernière avant de voir la chaise de fortune rejoindre le sol avec fracas.
« PUTAIN ! Pour une fois que je reviens en cours ! Faut que je tombe sur une débile qui ne sait pas fermer et ouvrir une porte ! La base dans une académie et non, l'autre connasse ne sait même pas faire ça. »
Puis il se tourna vers elle, la pointe de l'index.
« Et si t'as un doute ? C'est bien de toi que je parle ! TROUVONS NOUS UNE SOLUTION ! MAINTENANT !»
Il enfonça les mains dans les poches, toisa la jeune femme, le regard, tout, sauf sociable et il se mit à attendre, à attendre que tu offres la solution, que tu lui donnes la solution, parce que oui, tu vas la donner, s'ils en sont là, c'est pas pour rien, c'est totalement de ta faute donc, maintenant... LA FEMELLE ! TROUVE UNE SOLUTION ! | |
| | | South Italy/Lovina Vargas High, Chambre 3
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| Sujet: Re: La science vulgarisée avec des mots vulgaires ! Conférence de la Prof Italie du Sud et du Prof Belarus. Sam 10 Oct - 23:02 | |
| Italie du sud ne pouvait s’empêcher de rouler des yeux face à l'affirmation. Il savait forcer les porter. Ahaha mais bien sûr. La bonne blague. C'est pour cela qu'il semblait avoir tant de difficultés avec celle-ci. Quel imbécile franchement ! Il la poussa en plus de la menacer. Si son but était de la terrifier, disons que cela avait l'air de de fonctionner. Après tout, on parle de Biélorussie là, d'un psychopathe en puissance et non un idiot face auquel elle pourrait vite lui faire la tête au carré. Ce dernier pour qu'elle puisse le remettre a sa place, c'est mission impossible. En plus elle n'avait aucune envie de passer par la case ' balancement par la fenêtre' ou ' fracassage de gueule contre la table'. Trop peu pour elle merci bien.
"Comme si ça allait changer quelque chose d'me foutre ce genre de trucs bordel ! "
Et bien évidement elle omis de mentionner la soi disant 'spécialité' du slave qui semblait inefficace. Là elle espérait vraiment que l'autre ai sur lui un moyen pour communiquer avec les autres élèves, bien que Lovina se doutait que son répertoire ne devait être guère plus long que 'Papa-Maman', 'Ukraine' parce que bon c'est la famille et surtout 'RUSSIE ! ' avec peut être même des tonnes de cœurs à coté. Brrr rien que d'y penser cela lui donnait des frissons tout le long de son corps. Autant arrêter de songer à ce qui ressemblait fort à une vision tout droit sorti d'un film d'horreur. Pour ce faire, elle secoua légèrement la tête. Non vraiment elle était persuadée à 130% qu'il s'agissait de la réalité.
On respire un grand coup pour se calmer avant que … attendez qu'est ce qu'il venait tout juste de déblatérer sur elle et ses proches ? Que c’étaient des idiots ? Ah oui mais cela ... ça ne passe pas vraiment. Elle ne va pas nier que c'est loin d’être des lumières et elle le dit assez régulièrement. Mais ça reste les personnes auxquelles elle tient ! Encore heureux que le biélorusse n'avait pas également mentionner la belge et l’américaine. Encore, pour la seconde ça serait passé encore, sorry Rogers mais il faut dire ce qui est.
Et ... Et puis non elle n'appelle pas son grand-père à chaque fois qu'elle a un problème ! Si cela arrive c'est uniquement parce que son doigt glisse trop sur le répertoire de son téléphone. Voila tout. D'autant qu'elle est assez grande pour se débrouiller toute seule. Du moins selon ses propres dires.
Pour ne pas l'aider, le slave n'avait pas de téléphone portable sur lui. La poisse quoi !
"Oh hé ! T'insultes pas ma famille comme ça toi merde ! Et c'que j'ai à foutre ça t'concerne absolument pas ok ?! Alors tu m'lâche la grappe ! "
Elle se fit pousser en arrière une seconde fois. Décidément ce type était une véritable brute sans la moindre délicatesse. Ne parlons pas du langage parce que là on virerait à l'hypocrisie vue celui de Lovina.
Le tout fut rapidement suivit par un lancer de chaise. Et oui après le lancer de tomates c'est au tour du mobilier. Comme on aurait pu s'en douter, le jet n’eut aucun effet sur la porte. Affligeant. Il n'y avait rien d'autre à ajouter. Bien sûr elle se fit encore insulter puis montré du doigt et sollicité pour trouver une solution au plus vite. A croire qu'elle n'y pensait pas déjà. Et elle le fit bien savoir sans mâcher ses mots.
" Tch ! tu crois que j'fous quoi là ?! Que j'danse une putain d'tarentelle ?! Bah nan ! "
Elle avança vers la porte après avoir lance un regard noir au biélorusse. Cherchant un moyen pour les sortir de cette pièce, Lovina se mit à marmonner en énumérant diverses possibilités et aussi de faire un point rapide sur la situation actuelle.
"Bon appeler quelqu'un on laisse tomber, passer par la fenêtre pour arriver dans une autre putain d'salle aussi ... la force ça marche pas merde ... Donc faut soit un truc comme un tournevis ou alors ... une épingle à cheveux ... "
Bingo la voila la solution. Une épingle à cheveux. Comment avait elle fait pour ne pas y penser plus tôt ? Pour une fois qu'on ne pourra pas déclarer haut et fort que les femmes ne savent rien faire mis à part parler entres elles de chiffons. Heureusement qu'avec sa chevelure elle avait besoin de mettre des épingles à cheveux afin de les tenir en plus de son serre tête. Elle en récupéra une qu'elle avait et espérait que cela marcherait sans accroc. | |
| | | Belarus/Nikolaï Arlovsky High, Chambre A
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| Sujet: Re: La science vulgarisée avec des mots vulgaires ! Conférence de la Prof Italie du Sud et du Prof Belarus. Mer 11 Nov - 10:25 | |
| On s'en fiche de savoir si cela va changer quelque chose à la fermeture, si cela va marcher, si cela va changer quoi que ce soit, tant que cela fait du bien, c'est le plus important, non ? Lui, il te dit que si. Il a raison, c'est un homme et toi, une femme, il ne peut qu'avoir raison, pourquoi ? Parce que c'est un mâle. C'est comme ça, tu ne peux rien n'y faire, ton grand père ne t'a jamais éduqué ou quoi ? En même temps, ce n'est pas réellement étonnant. La seule réponse qu'elle aura à sa première déclaration, sera un sifflement, tel un serpent.
« Tss... »
N'est pas psychopathe qui veut, mademoiselle et tu as de la chance qu'il ne puisse lire tes pensées, il te prouverai que son langage est beaucoup plus fleurit que ce que tu ne le penses. Enfin, si on pouvait considérer la vulgarité comme une sorte de langue, alors il était professeur en vulgarisation vulgaire de sa langue.
Biélorussie était déjà passé à autre chose, cherchant réellement des solutions, pour une fois, tout en insultant entre ses dents, ça par contre, on ne pouvait pas changer le naturel. Ce fut donc, sans s'y attendre, que l’italienne commença directement à l'agresser dans sa manière de lui parler et le pire dans tout ça, c'est qu'elle l'insultait même pas. Y'avait bien quelque mots orduriers mais rien qui ne le ciblait directement. Attention jeune fille, tu te ramollis, limite, cela devenait trop gentillet et plein de bon sentiment. Puis il haussa un sourcil, qu'elle dansait une putain de dentelle ? De quoi elle parlait ? Ou elle voulait en venir ? Elle voulait brouiller les pistes ou le faire passer pour un con ? Dans tout les cas, c'était mal barré, il lui faut plus que ça pour qu'il soit dépassé. Y va t'en foutre dans la tronche de la dentelle... Lui qui fait jamais dans la dentelle... Humour biélorusse, tu peux pas comprendre.
« Une épingle à cheveux ? Tu vas ouvrir les portes comme ça ? Finalement, dire que les italiens sont des voleurs, tricheurs et menteurs, c'est pas faux quand on te vois. Bon allez rend toi utile ou ouvre nous cette porte. »
Puis il souffla sur le coté, se mettant assis sur le bureau du professeur, murmurant.
« Ca nous changera un peu que tu sois utile au lieu d'attendre que je fasse tout. Feignasse d'italienne. »
Assez fort pour qu'elle puisse l'entendre.
« Tu peux te pencher pour faire ça, t'en fait pas, j'vais pas regarder. J'ai vu les atrocités de la guerre dans mon pays et en Russie, j'ai pas envie de remettre ça. »
C'était le romantisme biélorusse qui parlait, normalement, à cet instant, tu dois tomber à la renverse, une main sur le cœur et l'autre sur le front en te disant qu'il a l'âme d'un poète et que tu es sûr qu'il est doux sous sa carapace ! L'option gros connard est tout à fait viable aussi. Tu peux la prendre si elle te convient.
« Dépêche toi en prime, on a pas tous un con qui nous attend sous la fenêtre pour vivre et respirer. D'ailleurs, il recommence ses gammes dans la chambre, je vais finir par l'étranger avec une corte de sa guitare, quel connard, j'ai jamais croisé quelqu'un qui chante aussi mal tout en jouant... Aussi mal. Y'a pas de secret finalement. »
Il roula des yeux, fouillant dans ses poches pour sortir ses écouteurs et les glissa dans ses oreilles, poussant le son légèrement pour écouter mais aussi entendre les réponses désagréable de la pisseuse âgée, car il se doutait bien qu'elle allait réagir, ne pas se laisser faire, ce n'était pas son genre après tout, elle avait du répondant.
Indirectement, c'était quelque chose de plaisant qu'on lui marche dessus sans baisser les yeux, mais enfin, tout ceci n'était que des mots, il doute qu'elle serait capable de le frapper réellement, ou alors elle court vite pour arriver devant un prof et rouler sur le sol en pointant du doigt Biélorussie en étant en pleur, il paraît que ce sont de bon simulateur de douleur.
Et t'avise pas à m'enfermer dans la salle des élèves. Sinon, j'aurais ta peau ! | |
| | | South Italy/Lovina Vargas High, Chambre 3
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| Sujet: Re: La science vulgarisée avec des mots vulgaires ! Conférence de la Prof Italie du Sud et du Prof Belarus. Lun 7 Déc - 20:24 | |
| Lovina se concentra sur sa tache actuelle. Pour une des rares fois, elle voulait le faire bien et si possible rapidement comme cela elle pourra vite sortir et s’éloigner de l'autre fou. L’épingle à cheveux fut mise dans la serrure, le problème était qu'il fallait quelque chose pour la tenir. Mais quoi ? Une autre épingle ? Pas suffisamment stable. Il y avait bien les scalpels qui feraient parfaitement l'affaire. Sauf qu'approcher une potentielle arme du biélorusse demeurait une perceptive des plus périlleuse. Donc ... autant opter pour une autre barrette.
Et bien évidement il fallait que l'autre sort des stéréotypes sur les italiens tout aussi faux les uns que les autres.
Les italiens des voleurs ? Mais non, ils ne font qu'emprunter aux gens. Les italiens des tricheurs ? Non tout le monde sait qu'ils ne font pas de magouilles. Les italiens des menteurs ? Absolument pas ! Ils sont toujours honnêtes. Marmonnant elle finit par lâcher.
" Bah mieux vaut p't être ça que d’être bon pour l'asile psychiatre. Et si t'es pas content fais le toi même du con ! "
Le temps de préparer son passe partout improvisé, elle jeta un regard vers le bureau du professeur sommant le biélorusse de ne pas tenter de la reluquer. On ne sait jamais. Ce n'est pas parce qu'il en a après une personne et de sa propre famille qui plus est qu'il n'irait pas l'observer sans son autorisation. Du moins c'est ce que n'importe qui aurait pu croire de prime abord jusqu'à l'entente de sa réponse à son avertissement non verbal.
Temps mort. Il venait bien de comparer son derrière à des atrocités? Imbécile.
Un grognement lui servit de réponse à cette insulte mal déguisée. Allez plus que quelques secondes et elle allait enfin pouvoir se débarrasser de ce psychopathe en puissance sans le moindre goût ou sens de l’esthétisme.
L'italienne se redressa un bref instant pour lancer un regard rempli de haine vers le biélorusse.
" Pfff m'en fout de c'que tu penses vu qu't'y connaît que dalle de toute façon! "
Juste après Lovina se remit à l’œuvre en se concentrant autant que possible. Elle tourna l'une des barrettes à gauche, puis à droite et de nouveau dans l'autre sens, le tout durant ce qui semblait être plusieurs minutes.
Et ... Alléluia ! Un petit clic signifiant que la porte était déverrouillée se fit entendre.
Se redressant légèrement, elle se mit à afficher un petit sourire auto suffisant. Un avant gout de liberté se fit sentir. Et comme il fallait si attendre, le slave lui fit vite perdre sa satisfaction du moment. Et de manière assez brutale et surtout peu élégante qui l'énerva dans la seconde. Le sujet de la discorde: Antonio plus connu comme étant l'espagnol avec qui elle sortait.
Ok là il dépassait littéralement les bords ! Certes elle était la première a insulter et critiquer l'espagnol mais que quelqu'un d'autre le fasse, ça ne passait pas. Il y avait bien des exceptions avec les autres membres du tomate Gang mais au dernières nouvelles, le slave n'en faisait point parti. Heureusement sinon l'ambiance dans le groupe risque d’être des plus mauvaises. Certainement pas que pour elle. Enfin, elle comptait bien lui faire savoir qu'elle n'avait guère apprécié sa critique.
" Oh hé ! Déjà t'insulte pas mon copain merde ! Pis ... moi au moins j'suis avec quelqu'un comparé à une certaine personne qui fait courir sans la moindre putain de chance de réussir !"
Était ce nécessaire de préciser que cette pique visait directement Biélorussie ?
Croisant les bras, les sourcils froncés elle le fixa un instant histoire de voir sa réaction. Le tout en restant sur le qui-vive, on ne sait jamais.
L'idée de se faire la belle et de l’enfermer dans la pièce lui traversa l'esprit. Ainsi tous le monde pourra avoir la paix du moins durant quelques minutes. Mais, le problème risquait d’être les éventuelles conséquences de son acte qui retomberait sur elle en plus des personnes de sa famille. En conclusion, c'est une mauvaise idée bien que tentante.
" Bon voila t'peux t'casser maintenant bordel et continuer d'foutre c'que tu faisais avant ! "
De son coté, la ritale s'empressa pour aller récupérer son livre de cours ou l'objet à cause duquel tout ceci était arrivé. Inutile de préciser qu’elle maudissait l’ouvrage à ce moment précis. Elle s’autorisa même à laisser s’échapper un soupir de soulagement ainsi qu’une partie de ses craintes liées à la présence du psychopathe en puissance. | |
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